Parcours et valeurs
Plutôt que de rentrer trop dans un seul cadre et unique, une seule école (naturopathie, médecine chinoise, ayurvédique, etc), je prends le temps d'étudier les convergences.
La quête de vérité est longue et il facile de basculer dans une pseudo objectivité. L'important pour moi dans l' accompagnement que je fais pourrait se résumer avec 2 citations :
« Toute maladie curable peut être guérie par la seule action de la nature »
« Primum, non nocere » (D'abord, ne pas nuire)
(Hippocrate)
Je crois que la remise en question perpétuelle, pratique et théorique, est simplement essentielle pour tout thérapeute qui veut oeuvrer correctement...
Voici mon parcours ci-après pour vous donner une idée plus précise de qui je suis.
Chercheuse de vérité, je m’en suis remise dans un premier temps au savoir classique universitaire.
Sans chercher à valider tous les enseignements que je suivais, j’ai ainsi d’abord étudié différentes branches en sciences humaines « mention psychologie » (sociolinguistique, éthologie, psychopathologie fondamentale, anthropologie clinique, psychologie expérimentale, psychosociologie, etc).
→ 6 ans en sciences humaines (entre autres, obtention d’une « maîtrise en psychologie » à l’Université de Rennes 2) – Découverte fabuleuse avec la psycho-pathologie en particulier.
Souhaitant aller au-delà du métier de psychologue ou psychothérapeute, j’ai ressenti le besoin de compléter mes études avec des enseignements sur le corps « matériel », biologique, physiologique. Comme j’avais un baccalauréat littéraire, j’ai fais une mise à niveau scientifique (mathématiques, physique, chimie, biochimie, biologie). Et je me suis lancée dans un cursus de 2 ans pratico-pratique, en B.T.S. Diététique par correspondance, avec stages en présentiels.
J’ai vécu un stage unique avec Brigitte Fichaux-Mercier, diététicienne connue pour ses cours et ses livres sur la cuisine avec la diversité des denrées brutes biologiques. Et puis j’ai effectué d’autres stages, où j’ai réalisé combien le métier de diététicien en France était malmené : en structures collectives publiques en particulier. En effet, bien que la nourriture soit un « carburant » essentiel du corps, j’ai pu me rendre à quel point ce fait est assez dénigré voire méprisé. De plus, j'ai constaté qu'on ne laisse pas les professionnels réfléchir et penser par eux-mêmes. L'institution a le monopole de la pensée et toute esprit critique, surtout dans le sens positif et constructeur est plutôt mal vu car ça dérange...Ces expériences ont beaucoup fait écho avec ce qu'on a identifié comme étant le phénomène de la dissonance cognitive dont j'avais appris les tenants et les aboutissants en faculté de psychologie. La grande majorité des gens ont besoin de consonance cognitive (l'inverse de la dissonance), c'est-à-dire, en très bref, de s'appuyer et fonctionner sur des idées avec lesquels ils familiers. Dès que d'autres idées et modes de fonctionnement ou réflexion différents sont proposés, ça dérange et ça grince !...
→ 3 ans de sciences « dures » (entre autres, obtention d’un B.T.S. en diététique, à Bordeaux) – Rencontre avec la « diététique autrement », l'alimentation végétarienne, vivante et vitalisante.
La science m’intéressait toujours autant mais j’ai commencé à être un peu plus sceptique vis-à-vis de certaines dites « vérités », au fur-et-à-mesure de mes recherches et lectures.
Alors que j’avais trouvé du travail dans différents structures éducatives (enseignement) et sociétés de conseil en alimentation, j’examinais la diversité des discours, positionnements : je constatais que des savoirs bien vendus étaient en réalité très relatifs, contextualisés, orientés. J'ai vécu de véritables chocs cognitifs !
Croyant néanmoins encore au savoir institutionnel, j’ai quand même voulu aller un peu plus loin par rapport à certaines interrogations…
→ 2 ans en master à étudier l’histoire des sciences et des techniques – Exploration de l'Histoire de l'alchimie - Découverte de Jeanne Rousseau, Jacques Benvéniste, Antoine Béchamp et début d'étude sur l'hydrothérapie (Marcel Violet, Jacques Collin, Louis-Claude Vincent...).
Différentes lectures avant et pendant ces années de master, notamment pour mon sujet de mémoire, m’ont permis de comprendre un peu mieux le monde dans lequel je vivais. Nouveaux chocs...
J’ai réalisé qu’il fallait s’éloigner de la pensée unique institutionnalisée, élargir mes sources le plus possible. Et je n’ai eu de cesse de confronter minutieusement les arguments, les positionnements subtils afin de développer mon discernement.
Peu à peu, j’ai pu saisir d’autres critères de scientificité. Et j’ai senti le besoin d’aller vers l’expérience, davantage encore, profonde et intérieure, relié aux éléments, élémentaux, élément-terre…
→ Depuis : expérimentations et enseignements énergétiques et spirituels : Dr G. P. Grabovoï, chamanisme, art-thérapie, yoga des yeux, gaïayoga, kundalini et tantra yoga, diètes et jeûne, communication non violente, « développement personnel »...
Je suis alors passée par différentes initiations, pratiques d’expression corporelle. Et j’ai commencé à sentir ce qui était juste, qui avait le plus de sens pour moi, de bon sens, passant par nos simples sens… enfin !
Ma quête se poursuit, car elle est sans doute infinie, avec l’expérience comme seule garante de vérité unique. Créer le changement, le mouvement perpétuel, voilà l'essence de la vie.
Actuellement : reprise d'une formation en phyto-aromathérapie (Institut Hippocratus) – Visite de l'analyse sytémique vectorielle (enseignement russe) – Poursuite et approfondissement de mes pratiques de yoga depuis 2015, de diverses méthodes de libération corporelle, artistique et énergétique...
Ayant veillé à me former, m’informer, mais aussi me déformer dans mes croyances, je propose désormais mes services assez spécifiques.
L’objet de mon accompagnement ne peut qu’être holistique, étant basé sur les plans tant physique, mais aussi émotionnel et mental...